Sur les bords de la Lède, malgré la grisaille humide, les chants ont retenti : à la fois cri de libération et hommage au combat, aux copains. Les dix premières minutes sont capelaines : ils mettent leur rythme, font des choix judicieux, dans le camp de la Bido, contrent, contestent mais seuls trois points les récompensent. C'est peu quand on connaît les garçons de P. Maradenes qui grappillent des mètres, remettent la main sur le ballon,...
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